L’obésité est la maladie, la loi historique approuvée. Que fournit-il et pourquoi il a été introduit

L’obésité est une véritable maladie «progressive et rechute». Ceci est fourni par la loi qui vient d’être approuvée par le Sénat, après que le feu vert déjà reçu de la chambre, qui devient donc définitive. Il s’agit de la première loi sur le sujet, qui considère l’Italie comme le premier pays au monde à avoir une règle de ce type. Il représente également une première étape pour élaborer des politiques qui contiennent un phénomène croissant, en particulier parmi les plus jeunes, et qui affecte déjà 12% de la population nationale aujourd’hui.

Ce que la loi sur l’obésité prévoit

La loi se compose de 6 articles: le premier contient les principes et les objectifs de la norme, qui vise à garantir la protection de la santé et l’amélioration des conditions de vie des patients souffrant d’obésité. Ceci est défini pour la première fois comme « une maladie progressive et récurrente ». L’article 2, en revanche, vise à offrir aux patients touchés par l’obésité un accès équitable aux soins, offrant des services contenus dans les niveaux d’assistance essentiels (LEA), donc fournis par le National Health Service.

Pointer vers la prévention

La loi, la première au monde de ce domaine, a également été développée dans le but d’encourager les actions de prévention. Pour cette raison, à l’article 3, il y a un prêt d’un programme national avec une dépense de 700 000 euros pour l’année 2025, qui atteindra 800 000 euros l’année prochaine et 1,2 million d’euros par an à partir de 2027. Il sera le ministère de la Santé pour commencer les ressources entre les régions, en accord avec les dicléries de l’économie et des finances, dans le cadre de la conférence à la naissance de l’entrée en vigueur de la loi et de l’accord avec l’État.

Un problème croissant, en particulier chez les jeunes

Une attention particulière est accordée aux jeunes, car elle concerne la croissance de l’obésité précisément entre les enfants et les jeunes. Pour cette raison, des initiatives spéciales de prévention sont prévues, qui se joindront au soutien aux soins aux patients et à la promotion de la promotion de l’allaitement maternel, qui est encouragée comme utile pour réduire les cas d’obésité infantile également par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En particulier, 6 mois sont indiqués comme une période optimale de temps pour l’allaitement, de l’incitation également sur le lieu de travail et dans les jardins d’enfants. Campagnes de sensibilisation pour une alimentation équilibrée, la limitation de la consommation quotidienne d’aliments et de boissons hautement caloriques, mais avec de mauvaises qualités nutritionnelles fera partie des initiatives promues par la loi.

Promotion d’un style de vie plus actif

En plus de la nutrition, une importance particulière est également attribuée à la promotion d’un mode de vie actif, grâce à l’insertion de personnes atteintes d’obésité à l’école, au travail et au sportif recréationnel, au soutien aux activités sportives et aux connaissances des principales règles alimentaires dans les écoles secondaires primaires et secondaires et de deuxième année. Compte tenu de l’importance des actions ciblées, en particulier à un jeune âge, plus que des activités didactiques sportives sportives sont également attendues, tout en respectant l’autonomie des établissements d’enseignement. Les moyens de communication de masse et de pharmacies seront également impliqués dans des campagnes de sensibilisation ainsi que des médecins généraux et des pédiatres de libre choix, qui pourront fournir des règles simples pour un style de vie correct. Enfin, l’attention sera également consacrée à la sphère des troubles de l’alimentation, avec l’implication des centres spécialisés.

Surveillance et formation également pour les jeunes médecins

La loi prévoit également l’allocation, dans les ressources générales, d’un montant de 400 000 euros par an destiné à la formation et à la mise à jour des étudiants universitaires, des médecins généralistes, des pédiatres de libre choix et du personnel du National Health Service qui interviennent dans les processus de prévention, de diagnostic et de traitement de l’obésité, à partir de l’année en cours. Le ministère de la Santé établira également un observatoire spécial pour l’étude de l’obésité, prévu à l’article 4, avec la tâche de surveillance, d’étude et de diffusion des modes de vie de la population italienne.

Obésité, phénomène croissant

D’un autre côté, les chiffres relatifs à l’obésité et à l’inquiétude en surpoids: en Italie, 6 millions de personnes sont estimées avec des problèmes d’obésité, égal à environ 12% de la population, à laquelle 40% des compatriotes sont ajoutés au surpoids. Dans le monde, l’atlas d’obésité mondiale prévoit que le problème impliquera une dépense record de 4,32 billions de dollars par an d’ici 2035, si les programmes d’activités et de prévention et de soins ne s’amélioreront pas et ne limiteront pas le phénomène. Pour cette raison, le droit italien a été accepté bipartisan. « L’obésité représente une urgence mondiale, qui affecte également fortement notre pays. L’avoir reconnu aujourd’hui, grâce au vote de la classe du Sénat, comme une vraie maladie témoigne du testament plein d’It en tant que priorité nationale », a commenté Roberto Pella, président de la chronique des maladies parlementaires.

L’Italie se capifle dans la lutte contre l’obésité

« Avoir approuvé une loi contre l’obésité est un signe de civilisation que l’Italie donne encore une fois dans le domaine de la santé publique », a souligné le ministre de la Santé, Orazio Schillaci, qui a ajouté: « La direction est de se concentrer sur la prévention. L’obésité est reconnue comme une maladie et est un facteur de risque pour de nombreux pathologies chroniques dégénératives, métaboliques et oncologiques ». « Nous allons soigneusement examiner la prévention dans ce domaine et également une formation spécifique pour lutter contre ce type de pathologie », a conclu le ministre.