3 recettes satisfaisantes à base de bacon à base de plantes

Peu d’aliments sont aussi universellement appréciés que le bacon. La saveur distinctement fumée et salée et la texture croustillante de ce produit de porc en font un favori du petit-déjeuner, mais il est également populaire dans les sandwichs, émietté sur des salades et enroulé autour d’autres aliments.

Le bacon est un type de porc salé qui est généralement fabriqué à partir de la poitrine d’un porc, note le Département américain de l’Agriculture (USDA). Sauf indication contraire, le bacon est vendu cru et doit être cuit avant d’être consommé. La cuisson, que ce soit à la poêle ou au four, confère à cette viande sa texture croustillante si particulière.

Malheureusement, le bacon est l’un des pires aliments pour la santé. Les données de l’USDA montrent que le bacon est riche en calories, en graisses, en graisses saturées et en sodium. En fait, vous trouverez 90 calories, 7 grammes (g) de matières grasses, 2,8 g de graisses saturées et 270 milligrammes (mg) de sodium dans seulement deux tranches de bacon cuit. Cette quantité contient plus d’un cinquième de la limite quotidienne recommandée pour les graisses saturées, selon le Association américaine du cœur (AHA). En outre, la consommation régulière de charcuterie comme le bacon a été directement liée à un risque accru de cancer colorectal. En fait, un rapport du Organisation mondiale de la santé (OMS) cite des preuves significatives selon lesquelles la viande transformée, comme le bacon, est cancérigène (c’est-à-dire cancérigène) chez l’homme. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour les amateurs de bacon !

Et le bacon peut avoir un impact négatif sur bien plus que votre santé. Cela peut aussi nuire considérablement à votre portefeuille de nos jours. Le Calculateur d’inflation aux États-Unis estime que le prix moyen du bacon salé standard est de 6,24 $ la livre. Optez pour du bacon de meilleure qualité ou des marques sans nitrates et vous paierez encore plus. Et une nouvelle loi en Californie (qui produit environ 15 pour cent de la viande de porc du pays) menace de faire grimper encore les prix, note le Los Angeles Times.